La République de Maurice mérite de ma part une mention spéciale pour le soutien inestimable apporté à mon pays tout au long du processus de réconciliation nationale.
Il serait prétentieux de ma part d'oser dire que l'ONU a besoin de nous, mais je me contenterai de dire qu'il lui est probablement utile de pouvoir compter sur nous.
Il ne s'agit pas de catastrophisme de ma part : force est de constater que les progrès enregistrés ne peuvent dissimuler les profondes carences qui subsistent encore, ni ralentir l'obtention de résultats.
Tout d'abord, il ne serait pas honnête de ma part de prétendre que je suis satisfait du travail que j'ai accompli ici et que je pars avec le sentiment du devoir accompli.